Quatre semaines au Costa Rica à six (novembre-décembre 2012)

Nous sommes une famille de deux adultes et quatre enfants (11, 8, 6 et 3 ans). Nous avons passé quatre semaines au Costa Rica du 19 novembre au 17 décembre 2012. Nous nous sommes largement appuyés sur le forum pour préparer notre voyage. A notre tour, nous vous proposons un compte-rendu en espérant qu’il puisse aider l’un ou l’autre d’entre vous.

Pour ceux qui ne souhaiteraient pas tout lire, voici les éléments principaux :

-          Pour ceux qui hésiteraient encore, le Costa Rica est vraiment une très belle destination, proposant sur un territoire assez petit une grande variété de paysages, d’ambiances et d’activités. Il convient bien pour une famille avec des enfants relativement jeunes. C’est un fabuleux éveil à la nature pour eux ;

-          On a eu un gros coup de cœur pour le sud de la péninsule de Nicoya. Un must si vous aimez la mer et le surf ou si vous souhaitez vous y initier (avec Frédéric du Méli-Mélo à Santa Teresa !) ;

-          Cela vaut la peine de faire les deux côtes. C’est quasiment deux pays différents. On a commencé par les Caraïbes. A refaire, nous conseillerions peut-être de faire le Pacifique d’abord. La nature est plus sauvage et le pays plus pauvre sur les Caraïbes. Commencer par le Pacifique permet une montée en puissance. Toutefois, il fait rarement beau sur les deux côtes en même temps. Si vous en avez la possibilité et que vous n’êtes pas en saison, ne réservez pas à l’avance mais déterminez votre itinéraire sur place en fonction de la météo. A six, ce n’était pas vraiment possible pour nous et la pluie nous a accompagnés longtemps ;

-          La carte premium de toutcostarica permet d’économiser pas mal d’argent. De manière générale, le service de toutcostarica est vraiment exceptionnel ;

-          Hors billets d’avion et location de la voiture, nous nous en sommes facilement sortis avec un budget de 200$ par jour pour nous six sans faire d’excès mais sans nous priver non plus. La voiture (une Toyota Prado) nous est revenue à 2300$ pour les 4 semaines. C’est assez cher mais elle était en parfait état et un 4x4 est vraiment indispensable. De plus, il est possible que ce soit via la location de la voiture que toutcostarica se finance et ils le méritent bien.

Les nuits des 19 et 20 novembre : arrivée à Alajuela, logement à l’Orquideas Inn, une des bases d’accueil de toutcostarica, qui dispose d’une piscine et d’un beau jardin.

Une belle entrée en matière. Nous sommes logés dans un très grand appartement (le « Dôme »), mais il manque des plaques de cuisson dans la cuisine du dôme. Difficile de cuisiner pour six uniquement avec un micro-onde. Un bon truc, si vous allez  au restaurant de l’hôtel, ne regardez pas la carte des plats dont les prix sont prohibitifs mais demandez celle des snacks et commandez par exemple les patacones. Ce ne sont pas seulement quelques bananes plantains grillées, mais un véritable plat, servi avec des accompagnements, et à un prix intéressant. Excellent petit déjeuner.

Le lendemain, nous avions prévu la visite du volcan Poas, mais le temps était couvert et nous avons dû y renoncer. Nous passons une  journée tranquille au bord de la piscine.

21-22 novembre : trajet vers Puerto Viejo (près de 5h – parfois à 25kmh), logement à la Casa Moabi dans une maison traditionnelle « Bribri » sur trois étages complétement ouvertes sur la jungle.

Une expérience forte, mais nous en aurions certainement mieux profité si nous n’avions pas commencé par cette étape et, surtout, s’il n’avait pas plu durant les deux jours. Au bout de ceux-ci, nous sommes heureux de fuir l’humidité qui s’incrustait dans tous nos bagages. Bref, un logement que nous recommandons pour peu que le temps soit de la partie.

Puerto Viejo est un village intéressant avec une vraie âme (bien davantage que Cahuita). Les plages sont naturelles (et donc loin de l’image de carte postale). La plus belle plage est certainement celle de Manzalino à quelques kilomètres de là qui est, elle, entretenue. Comme partout au Costa Rica (ou presque), il faut se méfier des courants contraires susceptibles de vous emporter au large. Ce n’est donc pas la destination idéale pour nager en mer. Le ciel gris ne nous permet pas non plus d’admirer la beauté de la mer. On se replie sur la visite du Jaguar Rescue Center. Premier coup de cœur du voyage. Une guide passionnée et passionnante (en anglais), beaucoup d’animaux. Une excellente introduction au Costa Rica versant animalier.

23-27 novembre : trajet vers Cahuita (20 minutes), logement au Colibri rouge.

L’accueil du couple de français qui tient l’hôtel est charmant. Il comporte une belle piscine et un appartement trois chambres (!) avec cuisine mais un peu vieillot. Le colibri rouge est malheureusement localisé en dehors du village, mais le rapport qualité-prix est excellent. Le  « plus » des enfants : les bandes dessinées disponibles dans la bibliothèque.

La pluie a de nouveau rythmé notre séjour et ne nous a pas réellement permis de profiter des plages. Le séjour fut néanmoins très agréable. Nous avons notamment passé une journée avec une guide francophone (Karine, conseillée par les propriétaires du Colibri rouge, vraiment très bien, notamment avec des enfants) pour aller dans un village indien, voir la confection artisanale du chocolat dans une famille et visiter une ferme d’iguanes. Une belle journée et une alternative facile au village de Yorkin qui n’est accessible qu’en pirogue. Vraiment à conseiller, surtout en cas de pluie.

Nous avons également beaucoup aimé le Parc de la Cahuita, avec ses rios à traverser et ses paresseux (dont un descendu de son arbre à deux mètres de nous).

Une mention spéciale aussi pour le soda Carabean Surf Food.

28-29 novembre : Trajet vers Tortuguero (4h jusque La Pavonna, puis une heure de bateau), logement au Don Quichotte

A La Pavonna nous attendons le bateau en mangeant un excellent casado. Le trajet en bateau jusque Tortuguero est un chouette moment. On pourrait se croire en Amazonie. On rencontre d’ailleurs un cayman en cour de route. Le ciel est malheureusement toujours gris et la pluie n’est pas prête de nous lâcher. Elle va d’ailleurs nous poser un sérieux problème en raison du choix de l’hôtel.

Le Don Quichotte est un peu à l’écart du village et n’est accessible que par des chemins de terre qui seront rapidement complètement noyés. Pour sortir de l’hôtel, nous serons systématiquement obligés de marcher avec de l’eau jusqu’aux genoux pendant plusieurs dizaines de mètres. En soi, c’était une expérience forte, mais les enfants n’ont pas vraiment appréciés. L’hôtel en lui-même comporte de très belles chambres (surtout la chambre familiale) et a une piscine qui doit être très agréable par temps chaud. Le propriétaire, Gilles, est sympa, mais devrait être un peu plus proactif pour résoudre le problème d’accessibilité de son hôtel. Bref, c’est une adresse que nous conseillons si, et seulement si, il ne pleut pas.

La visite des canaux était intéressante mais un peu longue pour les enfants, d’autant plus que nous n’avons pas vu beaucoup d’animaux, sans doute en raison de la pluie. Nous avons eu plus de chance pour les tortues puisque nous avons pu assister à l’éclosion des œufs d’un nid et à la course vers la mer d’une centaine de tortues. Un grand moment.

Pour ceux qui en ont marre du riz et des haricots, nous conseillons les excellentes pizzas de Buddha café. Il est possible de les emporter, ce qui a permis que seul le Papa traverse l’eau. Le restaurant a l’air très agréable également. Le second soir, nous avons mangé à La Casona. C’était vraiment quelconque. Par contre, d’autres voyageurs nous ont dit beaucoup de bien de Miss Myriam.

30 novembre-1 décembre : Trajet vers Arenal (1h de bateau, puis 4h de voiture), logement aux Villas Josipek

Nous quittons les Caraïbes que nous n’aurons vues que sous la pluie, mais celle-ci nous accompagne jusqu’à l’Arenal. On commence en avoir franchement marre ! Elle ne nous permettra d’ailleurs pas de voir l’Arenal. Nous avions prévu deux volcans sur le voyage, nous n’aurons vu aucun d’entre eux.

L’accueil aux Villas Josipek est charmant. Ils ne parlent que quelques mots d’anglais et nous que quelques mots d’espagnol, mais cela ne pose pas de problème. En guise de villas, il s’agit de petites cabines (un peu vieilles, mais remarquablement entretenues) dans un magnifique jardin biologique. On y a notamment vu des toucans. La piscine est également très belle. Nous conseillons vivement même si c’est un peu excentré.

Nous avons fait les célèbres points suspendus sous la pluie. En soi, cela n’était pas gênant parce que les arbres nous abritaient, mais, du coup, nous n’avons pas vu beaucoup d’animaux et l’extraordinaire expérience racontée par d’autres voyageurs s’est transformée pour nous en une agréable promenade.

Nous avions prévu de rester trois nuits, mais un coup d’œil sur la météo nous convainc : le soleil nous attend sur la côte pacifique. Nous quittons un jour plus tôt. Les propriétaires le comprennent parfaitement et ne nous font pas payer la dernière nuit.

2-5 décembre : trajet vers Samara (4h), logement à l’hôtel Samara Pacific Lodge

Le soleil enfin ! Nous découvrons aussi un nouveau pays, beaucoup plus sec, plus développé aussi à mesure que nous nous approchons de la péninsule. L’hôtel Samara Pacific Lodge est le plus bel hôtel de notre itinéraire. Cela reste un hôtel familial, mais le couple français qui le tient assure un service de grande qualité. Comme nous avons quitté l’Arenal un jour plus tôt, nous y passons finalement quatre nuits et sympathisons peu à peu avec les propriétaires. Ce sera l’un des meilleurs souvenirs de notre voyage.

La plage de Samara est l’une des rares plages du Costa Rica où on se baigne sans danger. Depuis l’hôtel, il est possible d’y accéder à pieds à la partie nord de la plage, de loin la moins fréquentée. Pour les amateurs de surf, une petite école vient de s’ouvrir. Pas besoin donc de courir jusqu’à la plage du village. Il est également possible de louer quelques planches. Un bon spot pour les débutants.

Les filles ont fait une superbe balade à cheval avec Audrey (excursion organisée par Clémence du Pacific Lodge). Accessible aux débutants et aux enfants sans que cela soit une balade à la queue-leu-leu sur des chevaux en pilotage automatique. A conseiller pour tous les amateurs de chevaux.

Le restaurant de l’hôtel est excellent. Une cuisine française avec une touche exotique. Très belle présentation. Dame blanche à se damner. Le prix est bien entendu plus élevé que dans un soda (autour de 12$ le plat), mais cela reste peu cher au vu de la qualité. Menu enfant généreux. Un bon truc pour ne pas faire exploser le budget repas : alterner un repas à l’hôtel et un repas au soda La Perla tout près de la plage. Notre soda préféré des vacances avec notamment un excellent poisson grillé pour 6$.

6-8 décembre : trajet vers Santa Teresa (4h par la piste), logement à l’hôtel Méli-mélo 

On est parti vraiment à regret, mais l’étape suivant allait nous réjouir. Nous avons rejoint Santa Teresa par la piste qui longe la côte. Une aventure en soi, surtout dans sa seconde partie. Traverser deux rios, rouler sur la plage, puis sur des rochers, enfin au milieu des bois, un vrai régal même si on est heureux de ne pas devoir faire cela avec sa propre voiture… En chemin, suivant les conseils d’autres membres du réseau, nous avons été boire un verre à l’hôtel Punta Islita pour admirer la vue. Cela vaut effectivement le coup même si on a eu l’impression de déranger les employés de l’hôtel. Par la même occasion, nous avons constaté que nous venions de creuser un pneu. Un gardien de l’hôtel a directement téléphoné à l’une de ses connaissances et une heure plus tard le pneu était réparé (pour 10$ !) et nous étions prêts à repartir. On a tout juste eu le temps de terminer notre verre et de nous promener un peu dans l’hôtel… Un peu plus loin, nous nous sommes arrêtés à Playa Coyote, magnifique plage déserte…

Dans un genre très différent du Pacific Lodge, le Méli-Mélo est également un de nos coups de cœur. Nous avions réservés deux très belles chambres à prix modique. L’ambiance est simple et chaleureuse et la cuisine commune y contribue. C’est vraiment un endroit idéal pour une famille. Nos deux ainés ont pris un cours de surf donné par Frédéric, le propriétaire. C’est vraiment l’endroit idéal pour essayer le surf, surtout pour les enfants. Non seulement cela permet d’avoir un cours en français, mais surtout Frédéric est passionné et a un excellent contact avec les enfants. Il donne également quelques conseils aux parents pour qu’ils puissent aider par eux-mêmes leurs enfants après le cours.

Santa-Teresa est en outre un village très intéressant. Le village semble majoritairement habité par des immigrants venus s’installer pour le surf. Celui-ci semble rythmer la vie de tout le village. L’isolement du village, sa rue principale en terre, le fabuleux couché de soleil, etc., donnent l’impression d’avoir atteint un petit coin de paradis au bout du monde. Le contraste avec Montezuma, beaucoup plus touristiques, à quelques kilomètres de là est saisissant. Ce n’est pas du tout la même ambiance. A Montezuma, nous avons fait la promenade jusqu’à la première cascade. Pas mal de monde en haut, mais c’était assez sympa de pouvoir s’y baigner. La promenade est toutefois un peu difficile pour de jeunes enfants.

9-10 décembre : trajet vers Santa Elena près de Monteverde (1h30 de voiture, puis 1h30 sur le ferry, puis 1h45 de voiture dont la fin sur une piste assez difficile), logement à la Finca Terra viva

Terra Viva est le seul logement que nous avons réservé en dehors de la liste de toutcostarica. Il s’agit d’une petite finca familial juste au-dessus de Santa Teresa. Vous êtes dans une vraie ferme, pas dans un lodge. Il vaut mieux le savoir. Personnellement, nous n’étions pas dans le bon état d’esprit. En soi, il n’y a rien à reprocher aux propriétaires. Nous disposions d’une grande cabine, bien tenue. L’accueil est adorable, mais ce n’était pas de cela dont nous avions envie. Nous étions si bien sur la plage, à profiter enfin du soleil, que le retour à la montagne, à l’humidité et à un logement plus rustique ne pouvait que difficilement nous enthousiasmer. Nous sommes persuadés que nous n’aurions pas vu les choses de la même manière si nous venions de vivre trois semaines de soleil. Quoi qu’il en soit, nous décidons rapidement d’écourter le séjour. Comme à l’Arenal, nous ne restons finalement que deux nuits plutôt que trois. Les propriétaires ne font pas la moindre difficulté et ne nous demandent rien pour la nuit que nous annulons. Cela n’allait pourtant pas de soi.

Durant la seule journée complète que nous passons à Santa Teresa, nous visitons la réserve des enfants. La remise d’un petit carnet d’explication permet de faire la visite par soi-même. Intéressant. L’après-midi, nous faisons les fameuses tyroliennes. Les enfants ont adoré. Ils étaient très à l’aise (bien plus que leur Papa…). C’est très bien organisé et parfaitement sûr. Les enfants glissent accrochés avec un guide et profitent des sensations fortes. Le cadre est fabuleux (mais le Papa vous dira que vous regardez surtout le câble…). Une expérience marquante du séjour.

Nous confirmons également que le soda en face du terrain de foot est très bien : copieux, bon et pas cher…

11 décembre : trajet vers Manuel Antonio (3h30), logement Cabinas Espadilla

Cette étape n’était pas prévue initialement. Nous l’avons ajouté lorsque nous avons décidé de quitter Santa Teresa un jour plus tôt. Nous sommes très heureux de l’avoir fait. La ville de Manuel Antonio est très touristique et le parc est fort fréquenté, mais cela reste un parc bien inscrit dans son environnement (alors que nous craignions qu’il ne soit trop aménagé) et une fois passé entré dans le parc les gens se dispersent progressivement (du moins, si vous venez assez tôt). N’hésitez pas à faire la boucle afin de ressortir par la plage et non par l’entrée. Contrairement à ce que nous avons fait, ne vous arrêtez pas à la première plage mais continuez jusqu’à la seconde. Il y aura beaucoup moins de monde.

Nous conseillons également l’hôtel Cabinas Espadilla. Il est situé juste à côté de l’entrée du parc. C’est très pratique puisque cela nous a permis de laisser la voiture au parking de l’hôtel pendant la visite du parc même si nous avions déjà fait le check out et de replonger dans la piscine avant de reprendre la voiture.

Nous avons mangé au restaurant asiatique NGO que nous avions trouvé sur tripadvisor. En fait, il s’agit d’un take away, même s’ils disposent d’une table et que nous avons finalement mangé là (mais avec les box des plats à emporter en guise d’assiettes…). Une carte réduite à quelques plats (6$) dont notamment d’excellentes nouilles. Cela change du riz et des haricots. Une chouette adresse pas chère.

12-15 décembre : trajet vers Hacienda Baru (40 minutes), logement à la réserve

Nous terminons par l’Hacienda Baru si souvent conseillée sur le forum. La cabine est spacieuse et le jardin magnifique. Nous avons bien une petite inquiétude en voyant qu’il n’y a pas la climatisation dans les chambres alors qu’il fait très chaud et humide, mais dans les faits, une fois les ventilateurs mis en action, nous ne serons pas dérangés.  La piscine est très bien, mais le restaurant beaucoup trop cher. Cela contraste avec le prix vraiment peu élevé de la cabine.

Nous avons bien profité du domaine. Nous avons notamment rencontré un groupe d’une dizaine de singes capucins sur la plage. Il y en avait partout. Nous avions également envie de faire une promenade de nuit avec un guide, mais nous craignions que cela soit trop long pour nos plus jeunes. Ils ont résolu le problème en faisant une excellente proposition : nous avons fait la marche dans la mangrove mais en la commençant vers 16h de telle sorte que la dernière demi-heure de la promenade s’est faite dans le noir. Les enfants ont adoré. C’était vraiment une très bonne solution.

Dominical nous a semblé un peu mort. Cela s’anime sans doute en haute saison. Pas facile de trouver de chouettes endroits pour manger. Une mention tout de même pour les pizzas de la Casita et les sandwiches du Chappys.

16 décembre : trajet vers Alajuela (3h30), logement à l’Orquideas Inn

Retour à l’Orquideas Inn pour y passer la dernière nuit, repeser nos bagages et attendre notre vol du lendemain. On a un peu le sentiment de revenir à la maison. C’est sympa de rencontrer les autres touristes qui, pour les uns, viennent également de terminer leur tour, pour les autres, s’apprêtent à le commencer. On partage les expériences. Mais que l’eau de la piscine semble froide après celle du Pacifique…

Nous quittons le Costa Rica des couleurs pleins les yeux. En attendant l’avion, nous demandons aux enfants leur best-off des vacances. Le voici, dans l’ordre ou le désordre selon les enfants :

-          Le Jaguar Rescue Center de Puerto Viejo

-          Le surf à Santa-Teresa

-          La balade à cheval à Samara

-          Les zip lines (et le Tarzan swing !) à Santa-Elena

-          L’éclosion des œufs de tortue à Tortuguero