Résumé de notre séjour du 2 mai au 16 mai 2010

Voilà maintenant le temps pour nous de faire un petit résumé de notre voyage au Costa-Rica qu'on a réalisé du 2 au 16 mai 2010. On a bien apprécié de lire les aventures des autres, alors à notre tour de faire profiter de notre "expérience" !

Avion

Nous sommes partis avec American Airlines (pour le transfert des bagages entre les 2 vols, c’est plus facile de prendre la même compagnie). On en a eu pour environ 1900€, assurances comprises. Rien à dire du voyage. Les hôtesses de l'air (assez « âgées ») sont très présentes, les repas convenables. Pas énormément de place pour les jambes, mais ça, c'est pareil pour toutes les compagnies. Ecran de télé commun à plusieurs passagers.

Seul point noir : notre escale à Dallas à l'aller. Nous avions 2 heures pour changer d'avion, mais nous sommes arrivés avec 1h30 de retard. Nous avons donc établi le record de l'aéroport : moins de 30' pour sortir de l'avion, passer les postes-frontières, passer les douanes, passer les postes de contrôle pour rentrer dans le 2^ème avion. Les portes d'embarquement étaient fermées quand nous sommes arrivés au 2^ème avion. Le personnel a du nous les rouvrir (on se serait cru dans un film !!!).

Entre l'atterrissage du 1^er avion et le décollage du 2^ème, nous n'avons passé que 50' sur le sol américain.

Gros coup de chapeau au personnel de l'aéroport de Dallas, il y a toujours quelqu'un pour vous guider dans l'aéroport, et les bagages ont suivi lors du transfert, malgré le délai très court ! Ils sont trop forts ces ricains !

Voiture

Les routes peuvent être vraiment mauvaises au Costa-Rica, plus du coté Caraïbes que du coté Pacifique d'ailleurs : cela va de la route goudronnée avec tellement d'ornières qu'il est impossible de toutes les éviter à une simple piste plus ou moins gravillonnée. Pour qui ne veut pas être limité par son véhicule, le 4x4 est obligatoire.

La façon de conduire sur place est un peu spéciale, mais pas pire que la conduite de certains parisiens. Ils doublent par la gauche, et par la droite. Les lignes blanches ne sont pas respectées. En ville, on n'a toujours pas compris les priorités aux intersections. Faites très attention, en ville, il y a beaucoup de sens unique, pas toujours très bien indiqué…

Pour la vitesse moyenne, elle tourne autour des 40kms/h sur la Cote Caraïbe ainsi que dans le centre du pays (vallée d'Orosi et hauts plateaux). Comptez 50-60kms/h sur la Cote Pacifique où les routes sont plus récentes.

Le GPS est très utile en ville, un peu moins à l'extérieur. Mais les panneaux d'indication sont rares et surtout assez petits. Pas de répétitions 500m, 200m comme chez nous… Attention, cela ne veut pas dire qu'il faut suivre aveuglément le GPS. Il nous a fait faire une dizaine de kms de nuit sur une mauvaise route ! Après avoir traversé 2 ponts en très mauvais état où l'on passait tout juste à une voiture (heureusement que grâce à l'obscurité on n'a pas vu ce qu'il y avait dessous), on s'est décidé à demander notre chemin. Les locaux ont bien rigolé et nous, on a pu retrouver notre route…

Auto-stoppeurs

Sur place, on a respecté les traditions locales et on a pris plusieurs fois des auto-stoppeurs. C'est sympa pour eux parce qu'il faut attendre un long moment avant qu'un bus passe et en retour, ça peut aider. Cela nous a permis de trouver un bureau de poste au fond d'une ruelle. Sans l'aide de l'auto-stoppeur, on aurait pu chercher longtemps…

Argent

Il n'est pas trop difficile de trouver des distributeurs dollars/colones en ville, un peu plus à l'extérieur.

La majorité des commerçants acceptent les 2 monnaies, ou au pire, acceptent l'une et vous rendent la monnaie dans l'autre. Mais pour limiter les taux de change un peu hasardeux des commerçants, il vaut mieux avoir les 2 monnaies sur soi.

Bien pensé à prévenir sa banque de son départ à l'étranger, on a réussi à bloquer notre carte bleue 2 fois (une fois par semaine). Heureusement qu'on en avait une autre…

Météo

Lors de notre séjour, il a plu quasiment tous les jours. Mais cela ne nous a jamais empêché de faire ce qu'on avait prévu. Au pire, on a subi une bonne pluie tropicale, mais elle n'est pas venue à bout de nos ponchos.

Il commence à pleuvoir en fin d'après-midi (vers 16h30 mais comme il fait nuit tôt (vers 18h) ce n’est pas gênant), mais comme l'eau est assez chaude, la pluie est plutôt bienvenue vue la chaleur qu'il fait.

Les Ticos

Ils sont très serviables. On a réussi à se perdre dans des quartiers que l'on peut qualifier d'un peu chauds pour nous européens, et aucun problème pour avoir une indication pour nous orienter.

On a toujours eu un très bon contact, autant les guides, les commerçants ou même les gens que l'on a pris en stop.

On a suivi les "mesures de sécurité" qui nous avaient été dit : rien en évidence dans la voiture, faire un peu attention aux pickpockets, … et à aucun moment on ne sait senti en danger quelconque.

Il y a peut-être quelques quartiers chauds de San José à éviter la nuit, mais comme on n’y a pas été, on ne peut pas en dire plus …

A ne pas oublier dans votre sac

- ponchos pour vous protéger vous et votre sac à dos

- adaptateur pour les prises électriques (au format US)

- cadenas TSA pour les bagages en soute (TSA obligatoire si vous passez par les USA, sinon vous risquez d’avoir votre baguage éventré par les douanes américaines…)

- 1 moustiquaire. On en avait une mais on ne l'a jamais sortie. Mais il n'y en avait dans aucun hôtel. A vous de voir …

- un vêtement chaud, pas plus. On a mis une polaire une fois, en haut de l'Irazu

- prévoyez pas mal de T shirts, le climat tropical fait énormément transpirer

Notre parcours

1^er jour : arrivée à San José

Décollage de Roissy à 10h du matin. Arrivée à San José à 21h (heure locale).

On prend un taxi rouge (compagnie "officielle") pour se faire conduire à l'hotel Tucan de Pierre : 40$ la nuit pour une chambre très correcte.

2^ème jour : route vers Cahuita / Puerto Viejo

8h30, nous récupérons le 4x4 loué par l'intermédiaire de Pierre. Loueur très sympa, anglophone. On fait le choix de racheter la franchise pour ne pas être embêté pendant le séjour : 700$ de location et 180$ de rachat de franchise.

Nous partons sur la route principale (la 32) qui passe par Guapilès. Au bout d'une heure de route, nous tombons sur un barrage de la police de la route qui nous dit de faire demi-tour, il y a un éboulement sur la route qui empêche tout passage pendant plusieurs jours. On repart donc vers San José et on perd 2 bonnes heures.
La seule autre route qui permet de descendre vers Cahuita est la route de montagne. Le problème est que tout le trafic qui empruntait normalement la route principale passe maintenant par cette route. Du coup, on a le temps d'admirer le paysage. On mettra plus de 8h à rejoindre Cahuita et on arrivera de nuit.

On avait réservé le matin même par l'intermédiaire de Pierre une chambre chez René à la Casa Moabi (http://casamoabi.blogspot.com/). Charmante maison perdue en pleine nature. Quand on n'est pas exténué de son voyage en avion et de 10h de voiture, il paraît qu'on peut être réveillé par des singes hurleurs. Le jardin est magnifique, avec des toucans, des colibris et une grande variété de plantes.

Nous mangeons dans un resto caribéen conseillé par René.

3^ème jour : visite du Parc de Cahuita – Ponte des tortues de nuit

Le matin, nous allons visiter le Parc de Cahuita avec René comme guide. On voit plusieurs hérons, des aigrettes avant même de rentrer dans le parc. On rentre par le village de Cahuita, et on laisse ce qu'on veut comme droit d'entrée. Une fois dans le parc, on voit des iguanes, des paresseux. On boit du lait directement à la noix de coco et on nourrit des singes capucins avec la chair de la noix. On voit également un raton laveur qui est occupé à casser des pinces de crabes.

3 bonnes heures pour 8km de marche. A la sortie du parc, il y a un petit resto avec piscine qui nous tend les bras. Le paradis ! En plus, le poisson préparé à la noix de coco y est délicieux !

On passe une partie de l'après-midi à profiter des hamacs de la Casa Moabi.

Le soir, on tente notre chance avec René pour aller voir des tortues pondre sur la plage. 3h d'attente, mais malheureusement, elles ne viendront pas…

4^ème jour : visite du zoo aux paresseux-singes

René nous amène à un centre avec des paresseux-singes. La première partie de la visite fait la part belle aux serpents. Ensuite, on nous fait entrer dans une volière mais au lieu des oiseaux, elle est remplie de singes qui ne demandent qu'à jouer avec nous. Génial ! Ensuite, on continue la visite dehors et on peut approcher des bébés paresseux et des bébés singes qui sont là parce qu'abandonnés ou blessés. Le câlin avec le bébé singe qui s'endort dans nos bras restera un super souvenir !

En milieu d'après-midi, on reprend la route, direction Turrialba. On fait étape le soir à l'hotel Wagelia à Turrialba (http://www.hotelwageliaturrialba.com/). On est arrivés de nuit, sans avoir de réservation, donc on a pris ce qu'on a trouvé sur place. Sans être le meilleur hôtel de la ville, tout y est très propre, bien tenu et le restaurant y est bon.

5^ème jour : Irazu – Route vers Arenal

Nous partons assez tôt vers le volcan Irazu pour y arriver avant 10h. On avait lu que passé 10h, les volcans ont tendance à être recouverts par les nuages. Finalement, on aura un temps dégagé tout le temps passé sur place, même après 10h… On apprécie notre polaire arrivé là-haut. Le lac bleu-vert qui est normalement au fond du cratère a disparu depuis quelques semaines (à cause de la chaleur par le volcan qui « s’agite »), mais la vue vaut quand même le coup d'œil. Après un petit tour à la boutique, on redescend sans trop perdre de temps, le passage du niveau de la mer à plus de 3500m en moins de 24h nous provoquant un bon mal de tête à tous les 2.

On prend ensuite la route vers Arenal. On mange en route dans un soda : on ne sait pas forcément tout ce qu'on mange, mais c'est très bon !

On arrive en milieu d'après-midi, ce qui pour une fois nous laisse le temps de trouver l'hôtel qui nous convient. Finalement, pour les 3 prochaines nuits, cela sera l'Arenal Paraiso Resort (http://www.arenalparaiso.com/) avec son spa, ses piscines et ses sources chaudes directement sur place.

6^ème jour : visite du parc du Volcan Arenal

Nous visitons le parc du volcan Arenal, seuls. On y voit des toucans, des oiseaux aux mœurs très étranges, un arbre centenaire immense absolument magnifique (on se sent vraiment petit face à ce colosse) et on arrive au pied du volcan sur sa dernière coulée de lave (1992). On voit des pierres dévalées les pentes du volcan, mais nous n'aurons pas la chance d'observer la lave…

Sur le retour, on se prend une bonne pluie tropicale. Heureusement, le matin, le temps menaçait et nous avions pris nos ponchos.

Nous mangeons dans un steak house au retour et on passe l'après-midi à profiter calmement des sources chaudes et du bungalow.

7^ème jour : Quad / Canopy Tour

Par l'intermédiaire de l'hôtel, nous avions réservé une sortie en quad. C'est à faire !!! Le quad est très ludique, très bien encadré, et surtout permet de passer dans des endroits où l'on irait même pas à pied (passage de gué notamment). On est 3 dans le groupe (chacun son quad, c’est plus rigolo !), ce qui très pratique et nous permet de bien rouler. On est parti dans des coins très reculés pour profiter d'un magnifique point de vue. Attention, crème solaire obligatoire sur les bras, même s’il est à la limite de pleuvoir quand on part le matin. La météo change très vite au Costa Rica !

De la même façon, on a réservé un tour dans le Canopy Tour de l'hotel pour l'après-midi. N'ayant pas fait d'autres Canopy Tour, il nous a semblé très bien. On est que 2, pour 2 guides. Vive la basse saison ! On peut donc bien rigoler avec eux et faire un peu les fous sur les tyroliennes (tête en bas par exemple …). On verra un singe hurleur et un paresseux. On profitera d'une vue magnifique sur la rivière en contrebas.

La soirée sera zen avec chacun notre soin au spa.

8^ème jour : eco-zoo d'El Castillo / Route vers Tarcolès-Carara

C'est un peu à regret que nous quittons l'Arenal Paraiso. On y était quand même très bien…

Nous allons jusqu'à El Castillo pour visiter l'éco-zoo. Très bonne visite en petit groupe (encore une fois, l'avantage de ne pas partir en pleine saison). On y voit plein d'espèces de serpents. On pourra même prendre dans nos mains un "serpent-spaghetti", une grenouille verte aux yeux rouges (l'emblème du pays) et la « première partie » d'un python (il fait 8m de long pour plus de 150kg). Pour un premier contact avec des serpents, on a bien aimé le toucher de leur peau. Pas du tout ce qu'on imaginait.

On va également au milieu des papillons dans une serre. Et on finit avec les tarentules et les scorpions.

L'après-midi, on prend la route vers Tarcolès-Carara. Sur la fin, on ne manque pas de s'arrêter sur le pont qui enjambe le Rio Tarcolès pour observer les crocodiles qui sont situés juste en-dessous.

Après quelques difficultés pour le trouver, nous arrivons à l'Hotel Carara (http://www.hotelcarara.com/ ), et nous prenons une chambre avec vue sur l'Océan Pacifique.

9^ème jour : visite du parc Carara / Crocodile Man

Par l'intermédiaire de l'hôtel, nous avons réservé un guide pour aller visiter le parc Carara. Le guide vient nous chercher à l'hôtel et commence sa visite au pied de l'hôtel en nous présentant les aras rouges qui sont tout autour de nous.

La visite du parc dure un peu plus de 2h. On y verra des toucans, des oiseaux en tout genre, un coati, un agouti, un cormoran, … Très bonne visite, mais sans le guide, je ne suis pas sûr qu'on aurait vu grand-chose car le parc n'est pas facilement praticable.

L'après-midi, on bloque une visite du Rio Tarcolès avec la compagnie Crocodile Man Tour (mieux que le concurrent d'après ce qu'on avait lu sur le net – perso, on n’a pas été déçus). On est seuls dans le bateau avec un guide anglophone. On y voir des basilics, des hérons, des iguanes, des crocodiles, … Le pilote du bateau descend même sur la berge à un moment pour aller nourrir le plus gros crocodile des environs : Ben-Laden (plus de 5m et 850kg). Le guide nous attrapera même un bébé croco d'une dizaine de jours pour qu'on puisse le prendre dans nos mains ! Excellent !

On finit la journée dans la piscine de l'hôtel qui est presque trop chaude J. L'eau de l'Océan Pacifique n'est pas beaucoup plus fraîche… Le coucher de soleil sur le Pacifique est magnifique.

10^ème jour : visite de Manuel Antonio / Route vers Uvita

Nous quittons l'hôtel Carara pour partir vers le Parque Manuel Antonio. A nos yeux, le moins bon des parcs qu'on aura visités, peut-être parce qu'on était sans guide. C'est très touristique par là-bas, beaucoup trop à notre gout… On y verra quand même un ibis, des singes capucins qui viendront nous voir pendant le repas (très joueurs, limite agressifs), un iguane qui se bronze au soleil et un paresseux.

L'ambiance trop touristique ne nous plaisant pas trop après plus de 10j au calme, on décide de reprendre tout de suite la route vers Uvita. On sait où l'on veut aller, mais pas trop comment y aller : à l'hotel Oxygen Jungle Villa (http://www.oxygenjunglevillas.com/ ). On doit donc s'arrêter à l'office du tourisme d'Uvita pour demander le road-book pour rejoindre l'hôtel (normalement fourni lors de la réservation par internet). Sans celui-ci, impossible de trouver l'hôtel qui n'est indiqué nulle part. Habituellement, une réservation est obligatoire (seulement 12 « chambres »), mais compte tenu de la basse saison, on tente notre chance et on a bien fait !
Cet hôtel, c'est un petit bout de paradis sur Terre ! A peine arrivés, on est pris en charge par 2 charmantes réceptionnistes qui nous offrent un cocktail de bienvenue, nous proposent un linge humide pour nous rafraichir et s'occupent de vider le 4x4. On n’a pas l'habitude d'autant d'attentions et s'en est presque dérangeant au début…

L'hôtel est magnifique, avec une déco de style balinais, des bungalows entièrement vitrés mais très intimes (l'hôtel est interdit aux enfants…), une piscine à débordement, une vue sublime sur la baie située plus bas, et un restaurant au "menu surprise 4 plats" (29$) succulent.

11^ème jour : journée à la Isla de Caño

La veille, à l'office du tourisme, nous avons réservé une journée de snorkeling (plongée avec palmes et tuba) à l'Ile de Caño.

Le bus vient nous chercher à l'office du tourisme à 6h30. Pour ceux qui le souhaitent, on fait une pause en route pour prendre un petit déjeuner (prix non compris dans l’excursion). Avant d'arriver à Sierpe (point de départ du bateau), on s'arrête pour regarder une curiosité archéologique : des sphères en granit taillées par des indiens il y a plus de 3000 ans… !

Le trajet en bateau se compose d'une promenade dans la mangrove pendant une heure et d'une heure de pleine mer.

Arrivée aux environs de l'ile, on va dans l'eau faire du snorkeling pendant une bonne heure. On voit pas mal de poissons et une tortue marine. On mange sur l'ile un très bon repas froid préparé par le guide. L'après-midi, on repart faire du snorkeling pendant une heure. Pour ceux qui le souhaitent, il y a possibilité de plonger en apnée à 4-5m de profondeur. N'hésitez pas à vous tartinez généreusement de crème solaire (sur l'arrière des mollets et des cuisses aussi) ou même à prévoir un T-shirt pour vous protéger du soleil…

Au retour en bateau, on verra des dauphins en train de sauter hors de l'eau. On passera un moment à essayer de les approcher mais ils semblent vouloir garder leurs distances. On arrive à Sierpe vers 15h30 pour un retour à l’hôtel vers 17h. Suffisamment tôt pour profiter de la piscine…

Repas au restaurant avec le menu-surprise. Encore un régal pour les papilles !

12^ème jour : au calme à l'hôtel Oxygen

Aujourd'hui, c'est le dernier vrai jour de vacances au Costa Rica. On a décidé de profiter de l'hôtel, de la piscine et des cocktails.

Définitivement, le recto-verso sur le transat, ce n’est pas pour nous… Malgré tous les charmes de l'hôtel, on s'ennuie un peu en fin de journée…

Heureusement que nous avons demandé un massage au spa de l'hôtel en début d'après-midi.

Dernier repas surprise, aussi délicieux et surprenant que les autres. Dommage que notre anglais limité nous empêche de tout comprendre ce qui compose notre assiette.

13^ème jour : route vers San José

Comme à l'Arenal Paraiso, nous quittons à regret nos hôtes. Nous reprenons la route vers 9h30 pour arriver à Alajuela vers 14h. En route, on s'arrête dans un soda en pleine montagne. Le soda est à flanc de montagne et donne sur la vallée juste en-dessous. La vue pour manger y est magnifique, et une fois de plus, le repas y est très bon (notre dernier casado con pollo… snif…)

A notre arrivée à Alajuela, nous faisons laver la voiture et faisons faire le plein avant de la rendre au loueur qui nous ramènera à l'Hotel Tucan.

Nous passons la fin d'après-midi à discuter avec d'autres Français de nos séjours respectifs ainsi qu'avec Pierre.

14^ème jour : retour vers la France

Debout très tôt pour prendre la direction de l'aéroport. Les mesures de sécurité à l'aéroport de San José sont impressionnantes, pire qu'aux USA ! N'oubliez pas de vous acquitter de la taxe de séjour de 26$ par personne (si possible avant dans une banque du pays, il peut y avoir du monde aux guichets de l'aéroport).

Nous avons 2h30 d'escale à Dallas. On en profite pour manger un vrai burger américain. C'est sûr que les portions françaises et américaines ne sont pas les mêmes !

L'avion qui doit nous ramener en France a un souci, on part donc avec 1h30 de retard.

On arrivera à Paris le dimanche matin vers 10h (heure française), fatigués mais super ravis de notre voyage.

Conclusion

Pour qui aime un peu la nature (aussi bien la faune que la flore), n'a pas peur de la chaleur ni de transpirer, mais qui a envie d'en prendre plein les yeux, le Costa Rica est vraiment la destination rêvée.

On peut aussi bien le faire de façon baroudeur, ou de façon beaucoup plus cocooning (ou les 2 !), il y en a pour tous les gouts, tous les budgets.